Improviser.
À l’improvis.
Sans préavis.
Maintenant.
Et maintenant?
Jetés au plus fort de la mêlée sans savoir que faire, que dire, ni pourquoi.
Un bien grand problème.
Mais l’improvisation on n’improvise pas.
Penser qu’elle soit quelque chose “qui va comment va” n’est pas la rue qui porte en direction d’un bon dénouement.
Si le travail de préparation du personnage a été bien développé, il y ont bien de choses qui peuvent donner aide, mais il n’y a personne qui peut assurer que tout va se dérouler selon vôtres projets.
Bien de imprévues peuvent arriver: une siège qui tombe, votre partenaire rit sans aucune raison, quelqu’un s’oublie son texte, bruits inattendus…
Ou bien, au bout d’un magique moment, vous ETES le personnage, vôtres jambes marchent spontanément, vôtres gestes ne sont pas en programme, mais il ont été toujours dans vôtres rêves, et depuis avoir pris votre élan vous vous arrêtés au bord du plongeoir vers la création, à l’adresse de ce que vous avez couvé pour moises sans vous vous donner compte.
Et maintenant il n’y a plus ni l’auparavant ni le depuis, il y a seulement la peur au bord de ce que maintenant c’est seulement un abîme d’inaction.
Peut être qu’il y ayent quelques questions sans réponse :
- Qu’est-ce que tu veux de moi (ou d’elle?)
- Et pourquoi ?
- Et si tu n’obtient pas ce que tu veux, qu’est-ce que va passer ?
Où es tu, pourquoi, quelle est la situation où tu joues : ces éléments sont (peut-être) la poussée vers la création ou le lest que te tire au fond à malgré tout, et la peur peut vaincre contre chaque bonne intention, à détriment de la qualité de ton propre travail et -c’est fondamentale- et du plaisir de jouer.
Mais nous avons plus d’une vraie possibilité, nous données par le Méthode Strasberg et par la recherche de Stanislavskij: explorer les relations entre les personnages, sonder avec soin sa propre identité de personnage, rechercher les raisons les plus essentielles de son propres comportements -en différents mots, la dramaturgie du personnage- seront les chapitres de deux jours de travaille.
Les emplois de cette recherche vont bien plus loin du domaine théâtrale: dans la vie quotidienne, la conscience de soi même c’est un élément fondamental pour rejoindre la sureté dans les relations avec les autres, en avant une appropriée perception et évaluation de ce que va passer -et de ses possibles effets- dans son déroulement, au but d’une positive interaction.
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